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Le bombyx 'Cul-brun'

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Le bombyx

Le bombyx "Cul-brun"

Euproctis chrysorrhea L.

Par KERRIS Tayeb émail: tayeb.kerris@free.fr      &        BENCHEIKH Riad

 

Les chênaies sont attaquées en permanence, mais de manière épisodique par de nombreux lépidoptères défoliateurs. Le chêne-liège est essentiellement attaqué par les insectes défoliateurs qui entravent la croissance et la production de liège (KHOUS, 1993). L’action des défoliateurs (Le bombyx disparate, le bombyx cul-brun et ou la tordeuse verte des chênes) peut affaiblir d’avantage les peuplements et faciliter l’installation des insectes xylophages et des champignons lignivores.

Position systématique.

Famille:    Lymantriidae.

Genre:      Euproctis Hbn.   (Synonymes: Liparis; Porthesia; Bombyx; Nygma...).

Espèce:    chrysorrhoea L.

Nom vulgaire:Bombyx cul-brun; Bombyx cul doré.


Aire de distribution

         L’aire de pullulation de cet insecte s’étant depuis la Méditerranée jusqu’à une ligne allant de l’Angleterre au Sud de l’U.R.S.S., en passant par la R.D.A. (SKATULLA, 1978, In AREVALO-DURUP, 1991). cette espèce a été importée accidentellement sur le continent américain à la fin du XIXè siècle.

         Elle a été découverte aux USA en 1897 à Somerville (Massachusetts), zone dans laquelle Lymantria dispar s’était dans un premier temps établie; puis en 1902 on la retrouve au Canada (New Brunswick) où elle s’est rapidement dispersée (Anoploures, 1991). En Algérie, le bombyx cul-brun fut signalée à l’Edough par DELASSUS et al. en 1931; dans la forêt de chêne-liège de Mascaro - Blida et sur Érables au Parc National de Tikjda (KHOUS, 1990, 1993), et dans la subéraie de Jijel en 1990 (CHAMBON et al., 1992; BENCHEIKH, 1992 & KHOUS, 1993).


Cycle biologique:

·       Description de l’Insecte (fig.1):

 

Femelle.

Mâle.

 

Dimension du corps: 16 à 18 mm .

    envergure de 30 à 40 mm.

Aspect du corps.

Volumineux, densément recouvert de poils Abdomen robuste avec apex portant des poils bruns, moins développé que ceux du mâle, qui serviront à recouvrir les oeufs.

Plus petit et plus fin. Abdomen étroit avec apex pauvre de poils laineux, blanc sur la partie antérieure et brun fauve ou doré à son extrémité d’où l’appellation « cul-brun » ou « cul-doré ».

Antennes.

Filiformes, bipectinées.

Plumeuses, bipectinées.

 

Aile I.

Ailes arrondies de couleur  blanches neige avec parfois un ou deux points noirs sur la face dorsale de l’aile antérieure.

De même couleur, plus petites que celles de la femelle, présente généralement 6 points noirs sur la face supérieur de l’aile antérieure.

         

Le cul-brun n’a qu’une génération par an. Son cycle biologique est entrecoupé par une diapause vraie hivernale au stade chenille. Les Papillons se manifestent début juillet dans les subéraies de Jijel (BENCHEIKH, 1992). Après l’accouplement, la ponte se fait, soit le jour même de leur union soit 3 à 6 jours après. Les pontes sont généralement localisées dans les parties périphériques du houppier de l’arbre et des buissons (SKATULLA, 1978, In Anoploures, 1991).

     Il a été dénombré entre 100 à 250 oeufs par ponte déposés en paquets de dimension de 15 à 30 mm, sur la face inférieure, des feuilles des chênes, dans certains cas, sur la face supérieure. Les oeufs sont fixés par un mucus recouvert de poils déposés par la partie abdominale de l'insecte. Ce feutrage de couleur beige marron protecteur est très résistant aux agressions mécaniques et climatiques (AREVALO DURUP, 1991 & BENCHEIKH, 1992). 

  

      Les oeufs de couleur jaune brun, sont parfaitement lisses et munis d’un chorion transparent qui laisse voir un contenu jaune doré (Anoploures DURUP, 1991). L’éclosion se fait selon les conditions climatiques, 2 à 3 semaines après la ponte (Anoploures DURUP, 1991). Les jeunes larves se regroupent et s’alimentent en groupe sur la surface supérieure de la feuille qui porte la ponte (BENCHEIKH, 1992).

     Les jeunes chenilles « pré-hivernantes » s'alimentent en broutant l’épiderme supérieur et le parenchyme, préservant la nervation et l’épiderme inférieur des feuilles, ce qui donne à la feuille un aspect de dentelle (Anoploures DURUP, 1991). La mi-Septembre, elles tissent un nid « nid d’hiver » dans lequel elles passeront l’hiver en diapause. Au printemps, il y a reprise des activités des chenilles « post-hivernantes » qui augmentant de taille, vont reconfectionner le nid d’hiver de plus grand diamètre. Vers la mi-Juin, Les chenilles en fin de développement sont de couleur  pourpre, très poilues, se caractérisent par des macrophanères et des microphanères. Ces derniers sont portés par des formations spéciales, les « miroirs », au nombre de quatre par segment, et constituent les poils urticants (Anoploures DURUP, 1991). Les urtications ne sont pas aussi dangereuses que celles de la processionnaire du pin (BENCHEIKH, 1992).

 

Chenille L3 à Kissir Jijel

Chenilles stades avancés

    Les chenilles de dernier stade larvaire cessent de s’alimenter et commencent par tisser le nid de nymphose ou « nid d’été ». Ce nid renferme une ou plusieurs chrysalides, chacune un cocon individuel est tissé d’un mélange de soie et de poils, le rendant ainsi très urticant. La nymphose se fait entre feuilles et rameaux (BENCHEIKH, 1992). De couleur marron noirâtre, la chrysalide mesure 12 à 14 mm. de long et épaisseur de 4 à 5 mm. (SACCUMAN, 1963 In Anoploures DURUP, 1991).

Formation de nid d'été 

Formation de nid d'été à Kissir Jijel


Importance économique:

         En effet, sur environ 450.000 has de formation forestière à chêne-liège, il n’en demeure que 229.000 has véritablement productives. La production moyenne annuelle actuelle de la subéraie est d'environ 150.000 quintaux, alors qu'elle était de 350.000 quintaux avant 1954 (GUETTAS, 1992). Sa valeur industrielle et ses divers utilisations ( agglomérés d’isolation, revêtement, décoration, bouchons et articles divers ), le liège constitue un potentiel économique non négligeable (BELABBAS, 1996). L’évolution des exportations des produits cités pour la période allant de 1984 à 1988 est récapitulée dans le tableau suivant :

Année

Montant ( Milliers de Dinars).

1984

4.274

1985

4.133

1986

6.183

1987

8.394

1988

15.977

 

Dégâts:

 

 

         Le Cul-brun possède comme la Processionnaire du pin la particularité d’exercer une double nuisibilité en tant qu’insectes défoliateurs puis en tant qu’agent allergogène pour les populations humaines (Anoploures DURUP, 1991). Euproctis chrysorrhoea est avec le Lymantria dispar l’un des Lépidoptères les plus polyphages qui se développe aux dépens de la plupart des essences feuillus, ornementales et fruitières (KHOUS, 1990) et se rencontrent dans les régions forestières d’Europe centrale (BARBEY, 1925 In Anoploures DURUP, 1991).

         Au printemps, les bourgeons et les feuilles sont consommés. Les dégâts de l'été ne sont visibles qu'en cas de forte attaque.

  Il y a deux périodes de dégâts: (Cas de la Subéraie littorale d’El-Aouana - Jijel, par BENCHEIKH, 1992):

      1. Dégâts des chenilles pré-hivernantes: Les chenilles sont des brouteuses d’épidermes. Les dégâts sont visibles de mi juillet à la mi septembre par le roussissement des feuilles.

       2. Dégâts des chenilles post-hivernantes s’étalent depuis mi mars jusqu’à la fin mai. Les chenilles plus âgées sont plus voraces et dévorent les feuilles, fleurs de plusieurs espèces forestières (TOROSSIAN, 1987). Des défoliations répétées entraînent des effets cumulés pouvant conduire à la mort de l’arbre comme c’est généralement le cas avec les autres ravageurs forestiers (SKATULLA, 1978, In AREVALO-DURUP, 1991). Selon SEMEVSKII (In GRADWELL, 1974 In Anoploures DURUP, 1991), une défoliation sévère (90%) peut entraîner une perte de croissance moyenne de 59%. La perte de croissance intervient dès l’année de la pullulation (SKATULLA, 1978, In AREVALO-DURUP, 1991). Si l’Insecte en juin, s’attaque aux fleurs femelles du chêne liège, il peut compromettre la fécondation et par conséquent les glandées et la régénération de l’espèce (ZERAIA, 1988).


 

Les ennemis naturels d’ Euprotis chrysorrhoea:

 

·       Liste des parasitoïdes les plus remarquables du Bombyx cul-brun (Anoploures DURUP, 1991).

·       Complexe parasitaire recensé dans la Subéraie littorale d’El-Aouana- Jijel  (BENCHEIKH, 1992).

Parasites des oeufs:

- Hyménoptères; Trichogrammatidae:

                Trichorgramma dendrolini Matz.

- Hyménoptères Scelionidae:

                Telenomus phalaenarum Nees.

                Telenomus turkarkandas Sz.

Parasites des chenilles et des chrysalides:

- Diptères; Tachinaires:

                Carcelia laxifrons Vill.

                Compsilura concinnata Meig.

                Exorista larvarum L.

                Pales pavida Meig.

                Parasetigenae silvestris R-D.

                Towsendiellomyia nidicola Panz.

 - Hyménoptères; Ichneumonidae:

                Pimpla examinator Fabr.

                Pimpla instigator Fabr.

                Pimpla turionnella L.

                Theronia atlantae Poda.

- Hyménoptères; Braconidae:

                Apanteles lacteicolor Vier.

                Meteorus versicolor Wesm.

- Hyménoptères; Chalcididae:

                Brachymeria intermedia Nees.

- Hyménoptères; Torminae:

                Mondontomerus aereus Walk.

- Hyménoptères; Pteromalidae:

                Trichomalopsis peregrina G.

- Hyménoptères; Eulophidae:

                Pediobius pyrgo Walk.

                Pediobius bruchidae Rond.

Parasites des jeunes chenilles:

- Hyménoptères Braconidae:

                        Apenteles liparidis Viereck.

                        Apenteles lymantriae Viereck.

                        Meteorus pulchricornis Wesmael.

                        Meteorus versicolor Wesmael.

 Parasites des chenilles âgées:

- Diptères;        Tachinidae:

                       Compsilura concinnata Meigen.

 Parasites des chrysalides:

- Hyménoptères; Chalcididae:

                          Brachymeria intermedia Nees. 

 Hyperparasites des chenilles via des Tachinaires:

- Hyménoptères; Torymidae:

                         Monodontomerus aereus Walker.

                         Monodontomerus minor Ratzeburg.

- Hyménoptères; Elasmidae:

                          Elasmus sp.

 

Prédateurs:

- Coléoptères;    Carabidae:

                         Calosoma sycophanta L. ( 1 ).

- Hyménoptères; Formicidae:

                         Crematogaster scutellaris Olivier.

·(  1 )Prédation par Calosoma sycophanta ( L. ) :

                En Corse dans la région de Porto-Vecchio, le Calosoma sycophante a joué le rôle essentiel comme prédateur dans l’extinction naturelle des populations de Lymantria dispar qui pullulaient périodiquement tous les 8 à 10 ans, et en particulier en 1953, en 1962 et, en 1970 avec des gradations d’une durée de 3 à 4 ans ( DAJOZ, 1980).  Pour établir l’équilibre naturel, le bureau U.S.Bureau of Entomology d’ Amérique introduit tous les parasites connu de Lymantria dispar dont notre le Calosoma sycophanta , qui fut définitivement acclimatées en 1929 ( BALACHOWSKY, 1951).

                Le Calosoma sycophanta est signalé en Algérie ( DELASSUS, 1925 ). En Algérie, sa répartition est très vaste : Bou Mzeran, Telagh, Teniet El Had, Boghar, Akfadou, Batna, Edough, El Kala, et, sa population a été renforcée à l'Edough à partir d’Espagne ( DELASSUS et al;, 1931 ). La femelle de Calosoma sycophanta pont 15 oeufs et meurt ( DUSSAUSSOY, 1963 ). La descendance d’une femelle de calosome peut détruire en une année la descendance d’une vingtaine de femelles de Lymantria dispar  ( DAJOZ, 1980). Les adultes de Calosoma sycophanta peuvent rester en diapause quelques années ( LEONARD, 1974 ). Un adulte peut se déplacer au vol sur plusieurs kilomètres à la recherche de ses proies. Un imago ayant une durée d’activité de 50 jours par ans peut dévorer 235 à 336 chenilles ou chrysalides de  Lymantria dispar ( DAJOZ, 1980) et, d’après les travaux de KHOUS M.G. en 1988, le  Calosoma sycophanta peut tuer  en moyenne 5.76 chenilles par jour dont 3.82 sont consommées. Durant toute la période d'expérimentation, le calosome tua 197.7 chenilles dont 130.5 sont mangées et 67.2 blessés à mort.( KHOUS M.G., 1993).

       Les maladies:

Certains champignons entomopathogènes comme Entomophthora aulicae  REICH. s’attaque aux chenilles de Bombyx. Ce champignon a été introduit d’Europe aux États-Unis pour lutter contre le Bombyx cul-doré (Euproctis chrysorrhea L.) et le Bombyx disparate (Lymantria dispar L.), dans certains conditions un taux d’infection de 60% a été enregistré chez cette première espèces (BALACHOWSKI, 1951). D’autres entomopathogènes comme Paecilomyces farinosus est l’espèce la plus commune et a été isolée chez 46,9% des larves mortes. Par contre l’espèces entomopathogènes la plus courante, Beauveria bassiana, n’attaque les larves hivernantes que très rarement ( AREVALO-DURUP, 1991 ).


Méthodes de lutte:

         Un traitement microbiologie à base de Bacillus thuringiensis est à envisager en cas de fortes pullulations, selon les deux cas:

  • En été, entre la fin des éclosions et le tissage du nid d’hiver.

  • Au printemps, après la reprise du développement et d’alimentation des chenilles post-hivernantes.

         Pour une bonne efficacité de traitement, un dispositif de surveillance pour déceler les différentes stades larvaires est indispensable.


Procédures et méthodes d’échantillonnage:

 

         Un dispositif de surveillance pour déceler les différentes stades larvaires est indispensable.

         Les nids d’hivernation, soyeux et brillants, sont par contre aisément repérables dès l’automne et leur nombre est un bon indicateur du niveau de population.

         La reconnaissance des chenilles sur le feuillages est un autre élément de diagnostic.

         La mesure de l’infestation a été réalisée par le dénombrement des nids visibles dans les houppiers. Les nids étant repérables de part leur couleur blanchâtre et leur position à l’extrémité des rameaux.

Piège à phéromone :

 

         La capture des mâles au moyen de pièges à phéromones est une pratique importante, puisque les renseignements qu’on retire sont utiles en matière de détection et servent aussi à déterminer l’emplacement des populations locales et fournissent enfin des indications sur les endroits où se reproduisent les autres stades de développement de l’insecte.

         Pour établir un système de détection et de surveillance des populations de d’Euproctis chrysorrhoea (L.) en phase endémique, l’installation d’un réseau de parcelles dans les régions atteinte est nécessaire. Soit 03 pièges à phéromones, d'une hauteur de 02 mètres à une distance de 40 mètres les uns des autres par parcelle. Ce réseau deviendra un élément important dans la détection hâtive des insectes d’importance économique en Algérie.

Procédures et méthodes d’échantillonnage 

         Un dispositif de surveillance pour déceler les différents stades larvaires est indispensable.

         Les nids d’hivernation, soyeux et brillants, sont par contre aisément repérables dès l’automne et leur nombre est un bon indicateur du niveau de population.

         La reconnaissance des chenilles sur le feuillages est un autre élément de diagnostic.

         La mesure de l’infestation sera réalisée par le dénombrement des nids visibles dans les houppiers. Les nids étant repérables de part leur couleur blanchâtre et leur position à l’extrémité des rameaux. On peut estimer la présence et l’importance de l’insecte dans une forêt attaquée par l’Euproctis.

L’utilisation du volume de nids d’hiver sous formes de classe donne de manière générale une bonne estimation des effectifs moyens des chenilles sortant des chenilles. Elle correspond entre les classe visuelle de volume de nids et les volume mesurés (modifié d’après TOROSSIAN, 1988, In AREVALO-DURUP, 1991).

Appréciation qualitative des volumes de nids.

Indice de classe de volume.

Correspondance volumique en cm3..

Centre de classe de volume en cm3.

Petit nids.

I

0 à 10

5

Nids moyens.

II

10 à 25

15

Gros nids.

III

25 à 40

30

Très gros nids.

IV

40 à 80

60

Très très gros nids.

V

80 à 160

120

 Définir par hasard des placettes d’échantillonnage de 625 m² (soit 25 X 25 mètres), à l’aide d’une carte au 1/25000. des secteurs de forêts selon les attaquées. Le comptage se fait selon un transect.


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