Importance économique:
Le genre Eucalyptus revêt une importance considérable à
l’échelle de l’économie forestière mondiale, et en particulier par
l’extension considérable des reboisements (plus de 4 millions
d’hectares) en régions tropicales sahéliennes et tempérées chaudes
(LANIER, 1986).
La majorité des pays circum-méditerranneens sont largement déficitaires
quant au bilan de leur filière bois; l’Algérie à un déficit de 65
000 m3 (LANIER,
1986). En Algérie, l’Eucalyptus qui se caractérise par sa rapidité de
croissance, a été choisi pour constituer les plantations dont la
production est destinée pour l’alimentation des usines de pâte à
papier (KADIK, et VILLAGRAN, 1981).
Un Eucalyptus peut produire en 20 ans ce qu’un pin
d’Alep par exemple , produit en 60 ans. En foresterie, les arbres
produisent généralement tous les 80 à 100 ans. Alors que l’eucalyptus
produit tous les 15 ans. Ce qui amène à conclure qu’il n’y a pas
d’hésitation possible en matière de choix d’espèces de reboisement.
Les forêts d’eucalyptus sont capables de jouer un rôle primordial dans
la filière bois, et diminuer ainsi en grande partie les importations de
ce produit vital à l’économie d’une manière générale (MEZIANE, 1996).
Le ravageur le plus redoutables est certainement le Phoracantha semipunctata F., qui s’est répandu dans la partie occidentale du
bassin méditerranéen (CADAHIA,
1986). Face au dommages spectaculaires causés par le Phoracantha semipunctata
en Palestine dans les peuplements d’Eucalyptus camaldulensis (CADAHIA,
1986)., et en Algérie sur d’Eucalyptus camaldulensis (KHEMICI,
1987). |
Une attaques intense de Phoracantha semipunctata
peut produire la mort d’arbres de 20 - 30 m de
haut (CAVALCASELLE, 1986).
L’évaluation des dégâts causé jusqu’en 1982 par
ce ravageur au Maroc a permis d’établir les chiffres
suivants: le nombre d’arbres atteints dépasse les 2
millions (CADAHIA, 1986) . Cette proportions de destruction
est relativement plus faible que celle enregistrée en Tunisie
et en Algérie (EL-YOUSFI 1982). Les dégâts évalués en
Espagne jusqu’en 1983 pour les seuls peuplements de la
province de Helva seulement à 6.207 ha (CADAHIA, 1986). En
Tunisie et en l’espace de 4 ans la diffusion est totale dans
la région avec des conséquences parfois catastrophiques
(CHARARAS, 1969). |
Dégât
de phoracantha en Espagne |
|
En
Algérie les dégât les plus importants causés par les
xylophages sur Eucalyptus sont ceux du Phoracantha semipunctata F., (Coléoptère., Cerambycidae)
(F.A.O./P.N.U.D., 1986). En l’espace de dix années, depuis
son apparition en 1968 à El-Kala, l’infestation a connu une
expansion foudroyante dans toute l’Algérie du nord
(KHEMICI, 1987), (voir carte de distribution géographique de
l’insecte.).
Étude
de l’influence des attaques sur la survie des espèces
d’eucalyptus par KHEMICI
(1987), voir tableau:
%
d’attaque du Phoracantha semipunctata,
dans l’Arboretum de Baïnem.
|
0
à 10%.
|
10
à 30%.
|
plus
de 30%.
|
Eucalyptus
albens.
Eucalyptus
blackely.
Eucalyptus
cladocalyx.
Eucalyptus
camaldulensis.
|
Eucalyptus
microcorrys.
Eucalyptus
paniculata.
Eucalyptus
saligna.
Eucalyptus
umbellata.
Eucalyptus
diversicolor.
Eucalyptus
leucoxylon.
Eucalyptus
citriodora.
Eucalyptus
astringens.
Eucalyptus
bosistogna.
Eucalyptus
alba.
Eucalyptus
gomphocephala.
Eucalyptus
urnigera.
|
Eucalyptus
globulus.
Eucalyptus
maideni.
Eucalyptus
grandis.
Eucalyptus
occidentalis.
Eucalyptus
woodwardi.
Eucalyptus
coolabah.
Eucalyptus
punctata .
|
* ( Source
KHEMICI, 1987).
|
Biologie
du Phoracantha semipunctata F.:
Le Phoracantha semipunctata
F., a généralement deux générations annuelles,
et en tenant compte de l’étalement de
l’oviposition, on peut rencontrer dans la même
population une ou deux générations (KADIK et
VILLAGRAN, 1981 et KHEMICI, 1987).
L’envol
des adultes de la première génération à lieu
de Mai à Août selon les régions et les donnés
climatiques (KADIK
et VILLAGRAN, 1981 et KHEMICI, 1987). Les femelles
déposent leurs oeufs (jusqu’à 160 oeufs) dans
les fissures de l’écorce ou au point de
jonction de deux branches (KADIK et VILLAGRAN,
1981). L’éclosion a lieu une semaine après la
ponte. |
Adulte
Ponte de Phoracantha |
|
Elle
donne naissance à des larves qui pénètrent dans
le bois ou elles creusent des galeries.
Au
fur et à mesure de la croissance des larves, les
galeries se développent en profondeur et en
largeur. L’évolution des stades larvaires se
fait en 4 stades (L1 à L4).
A la fin du développement larvaires les
larves du quatrième stade après nymphose en Août
- Septembre donnent naissance à une 2 ème génération.
L’envol des adultes de la 2 ème génération
aura lieu d’Août à Novembre, et les larves
entrent en quiescence pendant l’hiver (KADIK et
VILLAGRAN, 1981) |
Larve
et galeries de Phoracantha.
Adultes. |
|
Symptômes
et éléments de diagnostic :
Les symptômes d’une attaque du Phoracantha
n’attirent souvent l’attention que
tardivement, lorsque l’arbre est condamné.
De plus, même lorsque le diagnostic est très
précoce, il n’existe souvent pas de remèdes
pour sauver l’arbre et l’on peut alors
compter que sur les capacités intrinsèques
de défense de celui-ci. Toutefois, même
tardivement, un diagnostic des attaques sur
l’arbre attaqué est indispensable car ,
au delà de l’individu, c’est le
peuplement qui est menacé. Le diagnostic
des attaques sur quelques individus est un
élément de base de la lutte préventive
contre une épidémie
|
Comme tout être vivant, l’arbre
est capable de se défendre face à une
agression. Il existe une réaction de défense
chez les Eucalyptus, par une attraction
primaire de nature chimique qui a sa source
dans les composés terpéniques émis par
l’essence-hôte; et une autre attraction
secondaire due aux phéromones, substances
attractives émises par les individus
« pionniers », survenant dès
que les premiers insectes commencent à
forer de l’essence-hôte pour y ménager
un système de galeries. |
Troncs
attaqués par le Phoracantha
|
|
Sur
des arbres très affaiblis dont les moyens
de défense sont très faibles, les attaques
réussissent toujours. On observe sous l’écorce
la présence d’adultes en activité, des
oeufs, et des larves de l’insecte.
Donc il est nécessaire de vérifier
s’il y a ou non présence d’œufs et de
larves pour conclure au succès ou à l’échec
de l’attaque.
Une deuxième espèce à été Phoracanthi,
le Phoracantha recurva Newman,
à été identifié dans la forêt de
Zéralda (30 km à l'ouest d'Alger) en
mai - juin 2000. (KHEMICI,
KHOUS,
SMAILI
et BOUZDALI,
2002, Revue INRF).
|
Phoracantha
recurva (INRF).
|
Méthode
de lutte et recommandations :
La lutte contre le Phoracantha semipunctata F., comme toute insectes
xylophages, présente des difficultés.
Aucune méthode satisfaisante de lutte
biologique n’a encore été mise au point
(GONZALEZ TIRADO, 1986). Les seules procédés
de lutte contre cet insecte sont l’élimination
systématique des arbres atteints et mal
venants, l’installation d’arbres pièges
pendant les émergences et, les mesures de
quarantaines (GONZALEZ TIRADO, 1986 et
KHEMICI, 1987).
Élimination
des arbres :(
assainissement sanitaires des plantations ):
C'est la méthode fondamentale de
lutte. On doit impérativement procéder à
un assainissement urgent des foyers
d'attaque.
Þ
Pour limiter les pertes, il faut procéder
d’éliminer le plus rapidement possible
les arbres ayant dépassé le stade de
pleine maturité, étant donné qu’ils
sont les plus sensibles à une sécheresse
estivale (CADAHIA, 1986).
Þ
Ensuite, il faudrait éliminer les
arbres les plus attaqués pendant la périodes
qui s’étend de Septembre à Mai, afin
d’éviter la sortie des adultes. Les
nouveaux rejets ne sont pas attaqués et
ainsi, il est essentiel d’intervenir précocement,
avant que les larves de l’insecte ne
puissent atteindre la base de la plante et
ne détruisent le cambium juste dans la zone
où poussent les nouveaux rejets
(CAVALCASELLE, 1986).
L'opération d'assainissement doit se
faire comme suit:
-
Martelage
des arbres matures, des arbres mort sur
pied, et des arbres dépérissants,
-
Coupe
des sujets marqués.
-
Pour
limiter les propagations d'insectes
xylophages, on procédera au traitement
préventif du bois coupé par:
-
Poudrage
du bois stéré avec le lindane à 5%
(l'opération doit être renouvelée
tous les 15 jours).
·
Il y'a lieu également d'évacuer
hors de la forêt tout le bois gisant et
coupé. et de procéder à sa transformation
(trituration: panneaux de particules, pâte
à papier) (KHEMICI, 1987). |
Technique
de lutte par arbre piège:
L'installation
d'arbres-pièges est une mesure
tout aussi importante que la
première, et qui a pour but de
limiter l’extension des
populations. Elle s'appuie sur
la nette préférence du Phoracantha
semipunctata, qui attaque de
préférence les arbres
affaiblis,
pour des raisons
climatiques, édaphiques ou
pathologiques. Les dégâts sont
parfois spectaculaires, car une
attaque intense peut produire la
mort des arbres de 20 à 30 m de
haut (CAVALCASELLE, 1986).
Ces
pièges permettent la
concentration du plus grand
nombre d'individus et de pontes.
Chaque point piège est
composé de 15 billes non écorcées
de 2,2 m. de long et un diamètre
d’environ 15 cm., juxtaposées
sur le sol et portant des éraflures
pour favoriser les pontes
(GONZALEZ TIRADO, 1986 et
KHEMICI, 1987). |
billes
non écorcées portant
des éraflures
billes
ébranchées,
juxtaposées sur le sol
puis
recouvertes de feuillage |
|
Les
billes sont traitées par
poudrage au Lindane à 2%.
La dose de 75 grs./pièges
ne doit pas être dépassés,
afin d’éviter les
effets répulsifs
(GONZALEZ TIRADO, 1986).
Après poudrage, les
billes sont alors ébranchées,
juxtaposées sur le sol
puis recouvertes de
feuillage pour éviter une
dessiccation trop rapide
(GONZALEZ TIRADO, 1986 et
KHEMICI, 1987).Le
nombre de point piège dépend
du degré d’infestation*
constaté:
1
point-piège pour
25
ha. en cas de forte
attaque.
1
point-piège pour 50 ha. en cas
d’une attaque moyenne.
1
point-piège pour
100 ha. en cas
d’une attaque légère.
A chaque point-piège,
un nouveau est posé tous
les 15 jours de mai à
Novembre. Le poudrage des
pièges en place est
renouvelé en même temps,
les anciens pièges sont
éliminés par écorçage
ou incinérés 1 à 2 mois
après la pose (GONZALEZ
TIRADO, 1986). Les coupes
d’assainissement se
poursuivront normalement.
Matériel :
tronçonneuse |
|
Piégeage
des adultes:
Le développement
d’un prototype de piège
permettant la capture des
adultes de Phoracantha
semipunctata, par
l’amélioration du
dispositif de piégeages multidirectionnel
déjà utilisé par
MONTGOMERY et al. en 1983,
pour d’autre coléoptères
forestiers a été étudier
par
KHEMICI (1987).
Mesures
de quarantaine:
Les mesures de
quarantaine sont le moyen
le plus sûr de préserver
les plantations et d’éviter
la propagation continue de
l’insecte.
En
Espagne dans certaines régions
de Galice et de Cornisa
Cantabrica n’ont pas été
infectées. Quoi qu’il
en soit, des mesures
strictes de quarantaines
interdisant l’entrée de
bois dans ces régions
demeurent en vigueur (CADAHIA,
1984).
Dans
quelques pays de la région
méditerranéenne, tel que
la France, la Yougoslavie
et, la Grèce, le ravageur
n’est pas encore apparu
et des mesures sévères
de quarantaines y ont été
mise en place
(CADAHIA,
1986). Les mesures de
quarantaines pour le
transport de bois hors
zone d’exploitation sont
obligatoire et leurs
applications devra être
stricte (KHEMICI, 1987).
Lutte
préventive:
·
Le choix des espèces
d’Eucalyptus résistantes
à Phoracantha
semipunctata (CHARARAS,
1969, KHEMICI, 1987 &
NEDJAHI, 1987).
·
L’élevage des
plants en pépinières, la
préparation du terrain,
la mise en place des
plants, l’entretien et
le suivi des plantations
constituent des maillons
importants, leurs exécutions
suivant des normes précises
constituent le succès et
la prévention des futures
plantations (KADIK, 1980).
Évaluation
du taux d’attaque de
Phoracantha semipunctata
Pour
évaluer les taux
d'attaque du Phoracantha
dans une parcelle, l'appréciation
se fait selon le tableau
suivant:
Échelle
d'évaluation
|
1
|
Attaque
légère.
|
de
1
à
5 %
d’arbres
attaqués.
|
2
|
Attaque
moyenne.
|
de
6
à 25 %
d’arbres attaqués.
|
3
|
Forte
attaque.
|
plus
de 25%
d’arbres
attaqués.
|
Évaluation
de l'importance du dépérissement.
Les dépérissements
des eucalyptus, nécessite
un comptage systématique
des arbres dépérissants
et morts, afin de
quantifier le phénomène,
et d’évalué le volume.
Le travail consiste
à parcourir toute la forêt
et faire un comptage pied
par pied des arbres dépérit
, morts sur pied, tombés
au sol et ou coupé, en
prenant les mesures
dendrométriques (hauteurs
moyenne, et dominante et,
circonférence moyenne et
dominante) et calculé
leur volume.
Matériel
à utiliser
pour les mesures dendrométriques
(le Blum-Leiss, la mire de
Pardé, le ruban-mètre et
le compteur ou manuel).
|
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|
|
|
|
|
|
|
|
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