Insectes Vecteurs de Maladies Contagieuses à     l'Homme.

 

Les Diptères constituent un très grand ordre dont environ 70.000 espèces sont connues. Les plus importantes sont celles qui s’attaquent à l’homme, ainsi qu’à son bétail et ses animaux  domestiques.          De nombreuses familles des Diptères comprennent des espèces hématophages, mais par exemple ce ne sont souvent que les femelles qui se nourrissent de sang, et le Moustique mâle, se nourrit du nectar et d’autres sucs végétaux.          Les Diptères hématophages, tels les moustiques et les mouches tsé-tsé, ne sont pas tellement importants par la quantité de sang qu’ils ingèrent mais plutôt par les maladies dangereuses qu’ils transmettent parmi lesquelles: la malaria, la fièvre jaune, et la maladie de sommeil.          La mouche domestique n’est pas hématophage et ne s’attaque pas  directement à l’homme, mais elle contribue à la propagation d’un certain nombre de maladies humaines.

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Les Moustiques: Culex

 Ennemis publics numéro 1 :
Les moustiques

         La plus importante famille des Nématocères ( Insectes à antennes filiformes ), est celle des Culcidae qui comprend les moustiques. Les moustiques sont presque tous suceurs de sang, et ils sont responsables de la propagation de plusieurs maladies importantes telles la malaria, la fièvre jaune, et l’éléphantiasis. 

        Sur les 3000 espèces de moustiques vivant de par le monde, nous allons parler des plus  importants en santé publique qui sont: Le moustique domestique commun  ( culex ), l’Anophèle, et l’Aède. Les entomologistes en Polynésie Française n'en ont catalogué que 14 . Parmi elles, 13 peuvent piquer l'homme, et 2 peuvent nous transmettre la dengue ou la filariose. Sept n'existent qu'en Polynésie et même certaines ne se rencontrent que dans une seule île... mais quelques autres seront peut-être encore découvertes un jour. Toutes les espèces ne véhiculent pas des maladies et les moustiques sont même spécialisés : ainsi, le paludisme n'existe pas en Polynésie car l'espèce de moustique pouvant le transmettre n'est pas présente en Polynésie. Au Québec on compte 52 espèces de moustiques  dont une trentaine piquent les humains, 74 espèces au Canada.

Les Culex: Le moustique domestique ou Cousin.

Espèces Vectrices :

Cycle biologique:

         Les moustiques sont des Insectes à cycle complet ( Oeuf, larve, pupes et adulte ), varie entre 8 à 10 jours, mais parfois il peut être inférieur ou supérieur.

         Le moustique domestique commun  ( Culex  pipiens ) est l’espèce la plus commune, surtout à l’intérieur.

Le cycle du moustique comprend, comme chez tous les insectes diptères, 3 périodes : 1) la larve (période de croissance), 2) la nymphe (moins mobile) et 3) l'adulte (période de reproduction sans croissance).La larve de moustique est détritivore et utilise de l'oxygène atmosphérique grâce à un siphon. La nymphe de moustique a une forme globuleuse. Les femelles adultes sont hématophages (buveuses de sang). Une fois rassasiées et fécondées, elles pondent sur l'eau.

   ·     Ponte et éclosion: Les femelles des culex pondent leurs oeufs en colonies formant une espèce de nacelles (radeau) qui flotte dans l’eau. Le nombre d’œufs déposés par femelle varie selon l’espèce et l’environnement. En générale de 200 à 400 oeufs. L’éclosion se produit généralement 24 heures après l’ovoposition.

Écologie:

         Les moustiques sont particulièrement attirés par les couleurs sombres: vêtements noirs. Elle piquent en général pendant la nuit, la période d’agressivité la plus intense se trouve vers minuit. Si la personne est debout ou assise, les moustiques Culex piquent la partie inférieur du corps, si la personne est couché, les insectes piqueront n’importe. Les femelles peuvent être exophages (à l’extérieur) ou endophages (à l’intérieur).androphiliques ou exophyliques, mais il est possible de trouver des espèces endo-exophiliques.

        La femelle est tout d’abord attirée par les mouvements et les formes d’un hôte. Après s’en être approchée, certaines couleurs vont l’attirer particulièrement (du bleu à l’orangé chez certaines espèces).

       Les yeux des moustiques sont sensibles aux radiations infrarouges. La femelle peut être guidée par ces radiations vers les animaux à sang chaud.

       L’attraction se poursuit quand la femelle perçoit l’odeur de substances chimiques, comme le gaz carbonique, que l’hôte dégage en respirant. Finalement, des odeurs émises par l’hôte, comme celle de la transpiration, stimule le moustique à piquer.

         L’absence de nourriture résulte en une diminution du nombre de pupes, et  se reflète aussi  sur la dimension des larves et des adultes. La taille des adultes est supérieur lorsque la nourriture est abondantes .

         Certaines substances attirent les moustiques, d’autres les repoussent, qui sont utilisées pour les éloigner.

         Les femelles pondent des oeufs de  préférence au crépuscule et à l’aube, dans l’eau indifféremment propre (Récipients, puits, citernes d’eau potable, pots, boites, bouteilles, pneus, etc...)  ou souillée (polluée) de matières organiques (égouts, fosses, puits abandonné etc...), et dans des gîtes naturels (Creux d’arbres ou de roches,  rives de ruisseaux, des lacs, des réservoirs, des marécages, etc...).

 Communication *

De deux à quatre jours après leur sortie de l’eau, les moustiques partent en quête de partenaires sexuels.  Les femelles peuvent attirer des mâles par des signaux. Les battements de leurs ailes créent des vibrations sonores reconnaissables (de 200 à 400 battements par seconde) et des glandes spéciales libèrent des phéromones sexuelles.

Les antennes des moustiques portent de petites soies sensitives servant à détecter les substances chimiques présentes dans l’air. Les soies présentes sur les antennes des mâles sont plus nombreuses et bien étalées, un avantage lorsqu’il faut capter les messages chimiques présents dans l’air, envoyés par les femelles.     Les antennes sont aussi dotées d’un organe de Johnston formé de soies spéciales qui permettent de percevoir des ondes sonores, comme celles produites par le battement d’ailes d’autres insectes. Ainsi, c’est le bruit produit par la vibration des ailes d’une femelle qui incite un mâle à la rejoindre pour l’accouplement. Les signaux émis par les femelles varient d’une espèce à l’autre, ce qui permet aux mâles de reconnaître une partenaire de sa propre espèce.  * (Source principale: Bourassa, Jean-Pierre. 2000. Le Moustique, par solidarité écologique. Boréal.)

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Les Anophèles

Importance médicale:

·     Le Paludisme ou malaria, (Les Anophèles sont les seuls vecteurs du Paludisme humain.).

Espèces Vectrices :

·    

Cycle biologique:

·     Stades larvaire: Les larves des anophèles se reconnaissent par leur position  horizontale. Elle n’ont pas de siphon respiratoire. L’habitat est très variable selon l’espèce. Les larves n’aiment pas les petits gîtes larvaires à caractère domestique et temporaire, tels que les récipients abandonnés, les puits, les citernes, etc... Cependant, certains espèces prolifèrent dans les trous laissés dans la terre par les empreintes  lors du passage des animaux. Il y a 4 stades larvaires la durée de la phase larvaire dépend de la température et varie de 4 jours à plusieurs semaines.

·     Pupes: La nymphe est un organisme très actif en forme de virgule respirant à l’aide d’une paire de siphons respiratoires situés à l’arrière de la tête. La phase nymphale dure environ de 3 jours.

·     Adultes: L’activité des adultes est nocturne. Le rayon de vol est très variable selon l’espèce et l’environnement. Les femelles peuvent être androphiliques ou  zoophyliques,  exophages ou endophages  .

Écologie:

         Les anophèle se distinguent des Culcinés par les caractères suivants: Les oeufs sont pondus isolément de formes ovales avec une coque pourvue de flotteurs. Les larves des anophélinés restent horizontales, immédiatement sous la surface de l’eau; cette différence est en rapport avec la position des stigmates qui sont situés sur un siphon respiratoire apparent chez les Culcinés et sur la face dorsale du corps chez les Anophélinés. 

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Les Aèdes

 

Importance médicale:          Aèdes est le genre dominant dans les climats tempérés et froids .          Les maladies transmises par ces moustiques sont: Fièvre jaune, Fièvre jaune selvatique, Dengue, Divers types d’Encephalitis virale, et Filariose. La filariose est causée par un ver qui, passant du moustique à l'homme, se développe en formant, au bout de quelques années, des lésions souvent impressionnantes. Jugez-en plutôt :

·   

Cycle biologique:

·     Ponte et éclosion: Les oeufs sont déposé sur les surfaces humides à limite des collecte d’eau, dans les récipients abandonnés, les vieux pneus, les creux des arbres, dans toute collecte d’eau de petite ou moyenne dimension.

  Dans les climats très froids, une hibernation se produit pendant la phase ovaire. Les Aèdes choisissent des gîtes de préférence des endroits où le niveau d’eau est fluctuant. L’embryon de se développe en 72 Hrs (entre 25° et 30°). L’œuf à besoin de passer 48 Hrs dans la terre humide (ou dans un environnement humide) afin de pouvoir résister par la suite à la sécheresse .

·     Stades larvaire: La période de développement larvaire dépend de la température de l’eau, de la densité larvaire et de la disponibilité d’aliments. La phase larvaire jusqu’au stade pupe dure de 5 à 7 jours à une température de 25° à 30°. Une exposition prolongée à la températures froides (5° à 10°), et aussi à une température très élevé (plus de 32°) est fatale aux larves.

Écologie:

         L’adulte pique de préférence pendant la journée avec un maximum d’activité au crépuscule, mais ayant un pic secondaire vers l’aube. Quand la vitesse du vent est inférieur à 7 Km/Hrs, ils peuvent voler à contre vent, mais habituellement l’Aèdes a un rayon de vol très court, non pas incapacité de s’envoler loin, mais parce qu’ils préfère rester près de leur lieu d’alimentation, repos et de production.

         L’œuf à besoin de passer 48 Hrs dans la terre humide (ou dans un environnement humide) afin de  pouvoir résister par la suite à la sécheresse.

         Une condition particulière des larves d’Aedes aegypti est leur capacité à survivre hors de l’eau, dans la terre humide, ou dans les fonds des récipients qui conservent encore une quantité minime d’eau.

         La période de développement larvaire dépend de la température de l’eau, de la densité larvaire et de la disponibilité d’aliments.

         Une exposition prolongée à la températures froides (5° à 10°), et aussi à une température très élevé (plus de 32°) est fatale aux larves.

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Les Simulidés

Importance médicale:

         Il transmettent certaines maladies à l’homme, et aux animaux ^{( 1 )} .

         La maladie la plus importante transmise par ces petits moucherons hématophages est l’Onchocercose ^{( 2)} 

^{(1 )} Les maladies transmises aux animaux tels que : Maladies à virus ( Encephalitis équine ); Protozoa qui attaque les volaille; et des filaires qui attaque les canards.

 ^{(2 )} L’agent pathogène de Onchocercose est un nématode ( filaire ), Onchocerca volvolus, vivant chez l’homme dans des nodules sous-cutanés (Onchocercomes ou kystes ), et provoque un état prurigineux.

Cycle biologique:

·     Ponte et éclosion: Les Simulides déposent leurs oeufs en  groupes ou en masses d’environ 100 à 500 oeufs , sur la végétation ou sur des pierres partiellement submergées dans les  cours d’eau, ou dans les déversoirs des barrages. Quelques fois, la femelle dépose des oeufs individuels, ou par petits groupes directement sur les cours d’eau. A temps chaud, l’éclosion se produit 1 à 7 jours après la ponte selon l’espèces (Les oeufs du genre Simulium damnosum éclosent en général 36 à 48 heures après la ponte).

·     Stades larvaires: Après éclosion, les larves vivant dans les eaux s’agrippant aux pierres à l’aide de crochets ( pinces abdominales ). Elles  s’alimentent de plancton et de détritus qu’elle attrapent avec leurs brosses buccales, Elles passent  par 6 ou 7 stades larvaires de 7 à 10 jours lorsque les conditions du milieu sont favorables (température de l’eau, disponibilité de nourriture) et selon les espèces. Dans certains cas ou les conditions ne sont pas favorables la période larvaires peut s’étaler à plusieurs mois.

Écologie:

         Malgré leur petite taille leur piqûre est très irritante Ils s’approchent de leur victime et la piquent  sans qu’elle ne s’en rende compte, mais l’irritation se fait rapidement sentir. Pour l’homme les irritations dermiques peuvent s’infecter, et pour les animaux,  incapable de se protéger contre ces morsures, elles peuvent leurs être mortelle.

         Chaque espèces vectrices à son habitat de préférence, pour Simulium damnosum, elle préfère les cours d’eau importants aux petites rivières et aux ruisseaux.

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Méthode de luttes et de contrôle contre les Nématocères

         La lutte contre les moustiques et les simulides en détruisant les oeufs, les larves, les nymphes, et les adultes, et en se protégeant de leurs piqûres.

  Méthodes de luttes et de contrôle physique:

         Pour empêcher le développement larvaires des moustiques, il faut:

·     Supprimer les eaux stagnantes.

·     Drainer, rembler, sécher et détruire tous les réservoir inutiles à proximité des habitations, tous les récipients ( même les boîtes de conserves, yaourts, bouteilles etc...)  pouvant accumuler de l’eau des pluies. Les réservoirs d’eau utiles seront protégés par couvercle ou grillages très fin 

·     Réparer les systèmes d’évacuation tels que les égouts, les fosses septiques les canaux d’irrigation et de drainage etc...

·     Contrôler les système d’approvisionnement en eau.

·     Vulgariser la population en éducation sanitaire.

         Se protéger contre les piqûres par:

·     L’emploi de moustiquaires pendant la nuit.

·     Mettre des pastilles insecticides dans les chambres à coucher.

·     Fermeture des fenêtres par des grillages très fin.

·     Les répulsifs, qui éloignent les moustiques (*),(**).

·     Production de fumée.

(**)   Les premières préparations mises au point contenaient, en général, trois produits différents, ces répulsifs restent spécifiques, c'est à dire que le diméthylphtalate est un répulsif contre les simulies, les mouches piqueuses et les moustiques du genre Aedes; l'indalone, contre les mouches piqueuses; l'éthylhexanediol, contre les Aedes et certains anophèles; le benzyl benzoate contre les poux; le N-butyl acétanilide contre les tiques. Ces préparations ont permis aux troupes américaines de vaincre les insectes au début de la Seconde Guerre  mondiale.

* Source LHOSTE, 1979

        Une recette de répulsif (LHOSTE, 1979)Préparer un mélange homogène en dissolvant, d'une part, 50 parties de phtalate de diméthyle et 50 parties d'alcool cinnamique dans 550 parties d'alcool à 95°. D'autre part prendre 43 parties de chlorure de calcium (Cl2Ca) et 30 parties de chlorure de magnésium (Cl2Mg) que vous faites dissoudre dans 270 parties d'eau. Mélanger ensuite les deux solutions, agiter, filtrer. Étendre sur les parties du corps à protéger. En principe vous ne serez pas piqué par les Moustiques pendant plusieurs heures.

(*) Conseilles pratiques de protection contre les moustiques par les plantes:

Ä   L’eucalyptus (Eucalyptus sp.; Myrtacee ): Feuilles ou essence;

Ä   La menthe (Mentha piperita; Labiée): Essence;

Ä   La fougère mâle ( Polystichum filix mas; Fougère ): Feuilles de fougère mâle;

Ä   Le noyer ( Juglans regia, Juglandée): Se frotter le visage et les mains avec  les feuilles de noyer;

Ä   Citronnelle «Mélisse» (Melissa officinalis; Labiée );

Ä   Le thym ( Thymus vulgaris; Labiée ) en décoction dans l’huile d’olive en compresse contre les piqûres d’insectes.

        Préparation d’une potion de protection contre les moustiques:

  Méthodes de luttes et de contrôle biologiques:

         On a donné le nom de lutte biologique ( biological control ) aux méthodes qui consistent à détruire les Insectes nuisibles par l’utilisation rationnelle de leurs ennemis naturels appartenant soit au règne animal, soit au règne végétal cryptogames entomophytes.

         Protéger et utiliser les animaux se nourrissant des larves et de nymphes de moustiques tels que :

·     Insectes: adultes et larves des espèces suivant: ? Libellules ( Odonata ), ils jouent un rôle utile en éliminant les Moustiques et autres petites Mouches qui constituent la base de leur nourriture, ? Dytiques ( Coleoptera; Dytiscidae ) adultes et larves sont carnivores féroces, ? Les Nèpes aux pattes ravisseuses vulgairement appelé ‘Scorpion d’eau’ et Ranâtres ( Heteroptera; Nepidae ), et les Notonectes ( Notonectidae ), se nourrissent d’Insectes et de têtards, etc...).

·     Poissons: Pour la lutte contre les moustiques on sélectionné une série de Poissons tropicaux ou sub-tropicaux de petites tailles appartenant presque tous à l’ordre des Cyprinotondes qui jouent un rôle de premiers plan dans la campagne anti-paludique mondiale.

·     Bactraciens [ Grenouilles (Anoures ), Tritons (Urodèles ) etc..].

  Méthodes de luttes et de contrôle  chimiques:

·     Il faut tenir compte des facteurs météorologiques (Vitesse et direction des vent, etc...).

·     Respecter les doses létale des produits ( doses d’application, concentration de la formulation, rémanence du produit etc...).

         Les moyens utilisées pour les traitement sont:

·     Pulvérisation aérienne ( Aéronefs );

·     Pulvérisation terrestre ( Pulvérisateur à dos manuel ou motorisé, générateur de brouillard, etc...);

·     Pulvérisation domiciliaire par atomisation (Atomiseurs );

·     Épandage de larvicides sur les cours d’eau contre les Simulium vecteur de maladies: Insecticide est versé sur le courant d’eau par bateau ou pulvériser  par voie aérienne, il est automatiquement transporté et dispersé en aval. Les larves sont ainsi tuées par l’insecticide transporté en aval par le courant d’eau.

         Les précautions  à prendre lors des traitement de pulvérisation:

·     Pulvérisation domiciliaire: Protéger la nourriture, tolérer l’odeur des insecticides, faire sortir les personnes et animaux domestiques des chambres lors d’aspersion d’insecticide, respecter les consignes sur l’étiquette des produits commercialisés.

Pulvérisation extra-domiciliaire: Mettre un masque de protection, tenir compte de la vitesse et direction des vent, ainsi que la rémanence du produit, et respecter les consignes sur l’étiquette des produits commercialisés.

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